Illustration : Thomas LUNDY « Laura FAYE KOOLKAAS » Portrait
Thomas LUNDY est écrivain, acteur, musicien et cinéaste. Natif du Canada, il vit actuellement aux Pays Bas à Amsterdam.
En tant que cinéaste, il a déjà réalisé deux courts métrages « Nude not » en 2001 et « The man who never had a girlfriend » en 2003.
Il recherche pour son prochain film qui sera intitulé « Naked conversation with nude women » (Conversation avec femmes nues), des femmes de tous âges.
Le concept de ce documentaire est tiré du livre du zoologiste Desmond MORRIS « The Naked Man ». Thomas LUNDY y donne la parole à des femmes nues envisageant la possibilité d’une reproduction essentiellement féminine, facilitée par la technologie et excluant la participation de l’homme.
« Cette possibilité interroge sur les relations entre les sexes et projette, à l’extrême, l'extinction du sexe masculin... Un retour à une société matriarcale ? » Explique Thomas LUNDY.
Ni scientifique, ni ésotérique, mais plutôt philosophique ou socio-psychologique, il désire, dans une ambiance à la fois décontractée et intéressante, ouvrir la réflexion.
Thomas LUNDY est écrivain, acteur, musicien et cinéaste. Natif du Canada, il vit actuellement aux Pays Bas à Amsterdam.
En tant que cinéaste, il a déjà réalisé deux courts métrages « Nude not » en 2001 et « The man who never had a girlfriend » en 2003.
Il recherche pour son prochain film qui sera intitulé « Naked conversation with nude women » (Conversation avec femmes nues), des femmes de tous âges.
Le concept de ce documentaire est tiré du livre du zoologiste Desmond MORRIS « The Naked Man ». Thomas LUNDY y donne la parole à des femmes nues envisageant la possibilité d’une reproduction essentiellement féminine, facilitée par la technologie et excluant la participation de l’homme.
« Cette possibilité interroge sur les relations entre les sexes et projette, à l’extrême, l'extinction du sexe masculin... Un retour à une société matriarcale ? » Explique Thomas LUNDY.
Ni scientifique, ni ésotérique, mais plutôt philosophique ou socio-psychologique, il désire, dans une ambiance à la fois décontractée et intéressante, ouvrir la réflexion.
Pourquoi l'utilisation du nu ?
« Je souhaite éviter le style conventionnel du documentaire.
Je désire optimaliser l'élément le plus puissant du septième art, le visuel.
Pour cela, je cherche à donner une image chaude, douce, brumeuse, voire impressionniste.
J’y montre la femme dans la position allongée, en référence aux œuvres picturales de MANET, TITIEN, GOYA, BOUCHER, MATISSE, MODIGLIANI ou COURBET, et cinématographiques comme dans « Le Mépris » de Jean-Luc GODARD.
Enfin, la nudité symbolise, entre autres interprétations, la maternité essentielle, confiée par la nature à la femme. »
« Je souhaite éviter le style conventionnel du documentaire.
Je désire optimaliser l'élément le plus puissant du septième art, le visuel.
Pour cela, je cherche à donner une image chaude, douce, brumeuse, voire impressionniste.
J’y montre la femme dans la position allongée, en référence aux œuvres picturales de MANET, TITIEN, GOYA, BOUCHER, MATISSE, MODIGLIANI ou COURBET, et cinématographiques comme dans « Le Mépris » de Jean-Luc GODARD.
Enfin, la nudité symbolise, entre autres interprétations, la maternité essentielle, confiée par la nature à la femme. »
Un extrait du futur documentaire est visible sur Lundoxia, le site Internet de Thomas LUNDY.
Des extraits de ses deux précédents courts métrages sont aussi visibles sur Art2stay.
Pour participer à ce documentaire, contacter Thomas LUNDY
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